Actualité

  En 2003 Mad-Jarova a consacré son temps entre la peinture, la sculpture, l'écriture et ses expositions.
Elle a été l'Invitée d'honneur à la Mairie du 8e arrondissement à Paris par le Lions Club de France. Ses œuvres ont été très appréciées par le public.

  Au mois de mai, Mad-Jarova a rassemblé quelques artistes visionnaires confirmés, pour créer un groupe: "Artistes de la Réalité de l'Espace Intérieur".
Chacun avec son style individuel, exprimait ses visions personnelles. L'exposition, qui a eu du succès, s'est déroulée à Rouen à la galerie Gérard Boudin,

  Par la suite, au mois de juin, à la galerie du " Vert Galant " quai des Orfèvres à Paris, son exposition personnelle. a été très visitée, comme d'habitude. L'artiste a des nombreux admirateurs qui apprécient son œuvre hors du commun et ses dons multiples, ainsi que sa conception d'une nouvelle renaissance dans la recherche scientifique, philosophique et esthétique.
La presse nationale et internationale a fait écho de cet événement.

15 Avril jusque 15 mai 2004 :
Galerie Orage, 38 Grande rue, 77630 BARBIZON

Du 25 Juin au 30 Septembre 2004 : Exposition personnelle
Pôle Culturel, parc du Château, 52400 BOURBONNE les BAINS       Vernissage le vendredi 25 juin à partir de 18 h

Du 25 au 31 Octobre 2004 : Exposition personnelle
Salle Carré à la Farine - Place du Marché Notre Dame 78000 Versailles.

Du 2 au 31 novembre 2004 : Exposition au Centre Culturel Bulgare

28, rue La Boëtie 75008 Paris.

Au mois d'avril 2005, Invitée d'honnerur à Langres.


  Parallèlement, Mad-Jarova a créé une œuvre (peinture à l'huile) sur une sphère, qui sera exposée en 2004. Il reste encore trois sphères à finir, dont une de 2 m de diamètre. A part ses tableaux, elle a réalisé en 2003 cinq bronzes et deux statues de 2 m30, également en bronze. L'une d'elles sera placée dans le Hall d'Accueil d'une grande société de produits diététiques.
Elle a écrit deux articles parus dans la revue " 3e Millénaire " ainsi que des écrits qui vont paraître bientôt dans d'autres revues.
" Femmes artistes International " N° 46 a publié un article de dix pages intitulé : " Mad-Jarova, un destin hors série " ainsi que dans le N° 48 - un autre article de cinq pages intitulé : " Le Palais enchanté de Mad-Jarova " Il s'agit de sa demeure entièrement conçue et décorée par l'artiste. Les œuvres d'une grande originalité, comme la grotte avec une peinture dans une demi-sphère concave, le jeu de miroirs, les statues en bronze, les grandes fresques (dont un tableau de 8 m sur 4 m 50 collé au mur) le jeu de lumières dans le sol de marbre rose et tous les reflets sur une statue de 3m20 à l'extérieur entouré des cascades de plantes, donnent un effet magique.

Un film de 52 min est en préparation. Il sera diffusé sur TPS...

En 2006, Mad-Jarova a entrepris la réalisation de tableaux de grand format, sur les thèmes du couple, de l'amour et des animaux. De nouvelles formes abstraites symboliques apparaissent dans l'ambiace peuplée de créatures étonnantes.

Prochaines Expositions

Du 12 au 25 mars 2007 : Exposition personnelle
Salle Carré à la Farine - Place du Marché Notre Dame 78000 Versailles.

Du 8 au 10 juin : Invitée d'Honneur (peinture et sculpture) au Salon de "La Palette Decinoise"

Le Toboggan 69150 Decines (près de Lyon)

A partir de mois de juillet jusque mois de septembre 2007 exposition personnelle au Haras de Pompadour.

Du 27 octobre au 7 novembre 2007 Mad-Jarova est Invitée d' honneur pour l' exposition organisée par l' Association "Chiméria à Sédan. Adresse : 3, avenue Winston Churchill - 08200 SEDAN.

Au mois de mai 2008 à l' occasion du festival"Imaginal" exposition au Conseil Général à Epinal dans les Vosges. Cette exposition est remise pour l'année prochaine au même moment et à la même occasion

Au mois de septembre (de 1 au 15 septembre 2008) exposition personnelle - Salle "Carré à la Farine" - Place Notre Dame 78000 Versailles. Vernissage le jeudi 4 septembre entre 18 h et 20 h.

Au mois d'avril (de 5 au 18) Une exposition personnelle est prévue entre le 5 et le 18 avril 2010, au "Carré à la Farine" place "Notre Dame" 78000 Versailles. Un tir age donnera la possibilité de gagner une oeuvre de Mad-Jarova.

Autres activités :

Mad-Jarova a réalisé un film de fixion documentaire, où vous pouvez voir ses œuvres et méditer sur ses idées philosophiques. Elle a écris aussi le scénario et fait la mise en scène de ce film. Il est disponible en DVD, que vous pouvez demander directement à l'artiste à l'adresse : 33, rue Bouillon Lagrange 91530 Saint-Chéron avec un cheque de

25 euros, frais d'envoi compris.

Depuis 2005 elle travaille sur la création d'un Centre d'Art Européen.

Il doit regrouper les artistes visionnaires de plusieurs pays d'Europe. Une nouvelle tendance existe déjà dans l'art : Le Superréalisme.

Un nouveau livre de Mad-Jarova intitulé "Face à l'éternité" Editions Bénévent vient d' être publi é . Vous pouvez le demander chez votre libraire.

"Notre époque, marquée par l’évolution de la technologie, déstabilise certaines personnes dans la recherche naturelle d’harmonie entre la réalité et la spiritualité.

Je crois à l’émergence d’un nouveau paradigme scientifique, philosophique et culturel, qui va combler le manque de spiritualité. Dans ce livre, j’essaye de prouver que la spiritualité est scientifiquement justifiable en donnant des réponses fondées sur la science aux questions courantes et éternelles. A travers ces pages, les idées sont exprimées sous forme de dialogues entre Entités personnifiées comme Intuition et Raison ou Animus et Anima à travers les épreuves et l’action, où Phénix le cheval ailé voyage plus vite que la lumière, car il n’y a rien de plus rapide que la pensée.

Dans cet ouvrage, toutes les notions scientifiques officielles sont bouleversées d’une façon logique et naturelle, aboutissant à la reconnaissance de notre espace intérieur pour prendre conscience de sa richesse et pouvoir l’explorer. Ainsi, des images de rêve captées dans des lieux inaccessibles peuvent devenir réellement existantes si elles prennent vie en nous. L’écriture fluide et généreuse stimule l’émerveillement et l’ouverture sur le monde magique.

Dans la deuxième partie, j’utilise des références scientifiques, celles qui font partie de la science moderne et qui sont mal connues par la majorité des lecteurs. Ce texte condensé des idées et des hypothèses modernes pourra servir comme manuel à consulter à tout moment. C’est une invitation à l’initiation rapide et pratique.

Enfin, je propose un nouveau modèle pour une Théorie unifiée, celle que les scientifiques cherchent depuis plus de 100 ans. Ils ne prennent pas en considération l’éminence de la conscience qui y est pourtant le facteur essentiel.

 

« Trois coups dissonants retentissent dans l’Univers. Les trois secousses suivies des cuivres percent le rideau. Il éclate en lambeaux de feu. Une jeune femme se débat dans les flammes, emprisonnée par des lacets de braise. Au fond se dessine une silhouette de Géant, une ombre démesurée. Elle se précise et devient noire opaque comme le Néant, puis agrippe le corps gracile de la jeune femme abandonnée maintenant sans connaissance. « ANIMA ! HASARD ! »

Ce drame universel se déroule en sept actes qui correspondent aux lettres initiales du mot MYSTERE : Matière, Yeux, Science, Transcendance, Energie, Réponse et Esprit. Pour  retrouver les sept fragments du Cristal de la connaissance et sauver la Terre, Animus et Anima se lancent dans des épreuves fabuleuses. L’amour est la force qui, à travers tous les obstacles, finira par triompher et dépasser la mort.

 

« La musique les poursuit vers le zénith… C’est une Marche nuptiale. Elle jaillit en fontaine ascendante faisant vibrer les eaux, tel un plateau sur lequel la sphère lumineuse est posée sans pesanteur.

Cet instant unit leurs âmes et leurs corps dans un mariage sacré. Anima et Animus sont le reflet de la beauté de l’Univers. Leurs corps enlacés se figent comme sur un tableau.

Anima rayonne, son sang embrase ses lèvres et des larmes jaillissent sur sa chevelure propageant la rosée de son innocence juvénile. Pas un mot n’arrive à sortir de sa gorge embrasée par le battement de son cœur. Elle ouvre les yeux à travers ses larmes pour le regarder, comme si elle ne l’avait jamais vu.

Leurs corps pulsent soudés l’un à l’autre, leurs cœurs vont défaillir… Le feu explose au rythme de leurs cœurs. Ils s’évanouissent dans un cri étouffé l’un dans l’autre au même instant… à l’apogée de la vie et de l’amour. »

Pour plus de détails, envoyez un message à l'adresse contact@mad-jarova.net

Extrais du livre

L’antimatière

 

Parallèlement  aux particules de matière naissent les particules d’antimatière. Leurs propriétés physiques sont opposées à celles des particules de la matière. Au contact, elles se désintègrent mutuellement. Et pourtant les antiparticules existent, elles apparaissent spontanément à partir du vide quantique. La coexistence des particules et des antiparticules est réelle, mais où sont les particules de l’antimatière ?

 

Pourquoi la nature aurait-elle façonné un monde unilatéral ? Si les lois de la physique sont symétriques, je dois déduire qu’à la quantité de matière qui existe ici et maintenant correspond la même quantité d’antimatière. Pourquoi personne ne la voit ? Si chaque particule a son antiparticule, la matière devrait avoir une image symétrique.

 

Les scientifiques utilisent la force électromagnétique pour séparer et conserver (pour un temps infinitésimal) quelques atomes d’antimatière.

 

Les particules « stables » comme les protons, installées dans notre Univers ont leurs correspondants : antiprotons, antiélectrons où la matière est antimatière.

 

L’antimatière a été découverte dans les années trente. Plusieurs physiciens y ont apporté des révélations intéressantes, comme Owen Chamberlain, Carl Anderson et surtout Paul Dirac. Vers 1930, éclairé par un pressentiment, ce génie découvre l’antiélectron dans une équation mathématique. Il recherchait un compromis entre la théorie quantique et celle de la relativité d’Einstein, en quête d’une équation quantique de l’électron qui s’accorde aussi à un électron très rapide, “relativiste” selon le langage des physiciens. Il trouva en effet une très belle équation, mais elle faisait intervenir deux électrons : un normal et un d’énergie négative, ce qui est  incompréhensible, car la matière dans son état fondamental se trouve en limite minimale d’énergie. Au-delà de cette limite, elle risque de s’effondrer sur elle-même. En outre, la fréquence des particules est proportionnelle à leur énergie. Par conséquent une particule à énergie négative va remonter le temps. Afin de conserver son équation il renverse la charge de l’électron qui devient positron à charge positive et sauvegarde l’équivalence mathématique entre l’énergie positive et négative.

 

Indépendamment de Paul Dirac, en observant le rayonnement cosmique, l’américain Carl Anderson décèle la trace d’un électron mais d’une charge positive, c’est le positron qui vient d’être détecté.

 

En 1995 au Centre Européen pour la Recherche Nucléaire (CERN) à Genève, l’équipe dirigée par Walter Oelert et Mario Macri a assemblé neuf antiatomes d’hydrogène. Dans l’anneau de LEAR, certaines collisions d’antiprotons et d’atomes de gaz de xénon ont produit des paires d’électrons-positrons, (électron et antiélectron). Quelques positrons sont alors capturés en orbite autour des antiprotons. Les neuf atomes de l’antimatière ont vécu quelques dizaines de milliardièmes de seconde à une vitesse proche de celle de la lumière, et ceci malgré leur charge électriquement neutre.

 

Remarquez que lors des collisions, il y a toujours la production de paires particules - antiparticules et que d’un  faisceau  laser très puissant surgit une paire électron - positron. Ces expériences sont très importantes, car elles confirment la théorie de la symétrie.

 

Certains chercheurs émettent l’hypothèse d’un Univers qui pourrait vivre au rythme d’un battement : un « pulsar » fonctionnant comme le cœur humain…. Il y a une part d’intuition dans cette approche.

 

En réalité la science pose plus de questions qu’elle n’apporte de réponses : quel est l’aspect de la matière vu par la physique moderne : vide sillonné de champs de particules possibles ?

 

Le big-bang

 

Selon la théorie du big-bang, après l’explosion initiale, au fur et à mesure de son expansion et de son refroidissement, l’univers est passé par plusieurs stades.

 

Le premier est d’un milliardième de seconde, marqué par le rayonnement des photons. La création commence par l’émergence de toutes les particules et de leurs antiparticules à l’état libre. L’annihilation des particules par leurs antiparticules ne laisse que quelques nucléons isolés de charge positive. Ensuite, l’univers est né de ces quelques particules de matière qui ont survécu à l’apocalypse cosmique. Bien que le scénario paraisse attrayant, une énigme persiste. Un léger excédent de matière n’explique pas pourquoi, après l’annihilation des deux types de particules, l’univers nous apparaît rempli exclusivement de matière. D’autant qu’un excédent n’est pas possible, puisque les expériences montrent que la création d’une particule est couplée automatiquement, et par conséquent les particules ne pourraient être crées séparément de leurs antiparticules.

 

Comment pourrais-je comprendre la création de la matière, sans une quantité égale d’antimatière, à partir de rien ? La disparition des antiparticules bouleverse la symétrie logique et la loi de la conservation.

 

En matière de physique, une symétrie est observée depuis toujours. Ainsi, il existe un théorème appelé CPT (C pour Charge, P pour Parité et T pour Temps). Son concept est le suivant : un événement à l’échelle des particules peut se produire, si l’événement opposé peut également survenir avec la même probabilité. Autrement dit, en remplaçant la charge de la particule par sa charge opposée, en retournant la distribution spatiale (P), comme si la particule était reflétée dans un miroir, et en inversant le déroulement du temps (T), les équations doivent rester toujours valables.

 

Cela suppose beaucoup d’anomalies dans notre réalité et notre façon de voir le monde. Par exemple, si le temps est renversé en anti-temps, du futur vers le passé, les photons remonteraient le temps. La symétrie P propose l’existence d’une autre image comme dans un miroir d’une anti Terre, des anti humains et des anti océans, ou des anti montagnes. Tout cela paraît absurde, et les scientifiques tout en étant sûrs que leur théorème de CPT est indispensable, ne croient pas en son équilibre. Ils pensent que la brisure de symétrie en est la conséquence. Les trois éléments du théorème, surtout séparément, ont fait des preuves d’un déséquilibre symétrique.

 

Il me semble qu’effectivement si chaque élément est étudié séparé de l’ensemble, l’équilibre sera déstabilisé, et sa symétrie violée. Je pense que le déséquilibre est provoqué par la séparation. Les trois éléments réunis, Charge, Parité et Temps font une unité stable et la symétrie demeure. En réalité, le théorème est valable, mais la confusion vient d’une impossibilité d’observation. Effectivement, les scientifiques ne considèrent pas comme authentiques les événements non perceptibles et non calculables. Ces phénomènes sont attribués à la métaphysique ou à la philosophie.

 

Les transitions de phases sont des phénomènes tout à fait ordinaires qui se produisent tout le temps dans notre environnement : les transitions de premier ordre. Ce sont des transformations de l’eau par exemple, d’état liquide en l’état de vapeur ou solide. Mais si la matière se trouve dans un état instable, il se produit une autre transition de phase, dite de deuxième ordre.

 

Par exemple, dans un tube chauffé, les particules sont excitées et leur agitation thermique les empêche de s’orienter dans une direction, même si cette direction est stimulée par des aimants. Lorsque la température baisse les aimants les attirent vers une direction, alors la symétrie est brisée, les atomes ne sont plus dispersés d’une façon hétérogène.

 

On n’a pas précisé la raison pour laquelle la température a été élevée, pourquoi elle va baisser et qui va mettre les aimants. Dans le vide stellaire, il n’existe aucune activité semblable, et même si elle existait, qui l’aurait provoqué et pour quelle raison ? La transition de phases de deuxième ordre se produit avec une variation d’énergie du milieu. Elle est accompagnée d’une diminution d’énergie potentielle, et ce processus a été utilisé pour l’explication des événements au cours de l’évolution de l’univers. Le point de l’équilibre instable est appelé un faux vide, où l’énergie est supérieure au vrai vide. Au moment du big-bang, à chaque séparation d’une interaction à l’autre, il y avait une brisure de symétrie et une transition de phases.

 

Comment les physiciens ont-ils imaginé les différentes sortes de vide ?

 

Le « moule de Kouglof » nous raconte l’histoire d’une forme, comme un moule à gâteau, inventée spécialement pour pouvoir tenir une boule au milieu, dans un creux situé au centre d’une calotte, elle même placée au centre d’une gouttière circulaire. Afin de briser la symétrie, il faut faire tomber la boule dans le creux de la gouttière qui est plus creux que celui de la calotte, au milieu duquel est installée la boule. Lorsque la boule s’écarte de la calotte centrale qui constitue la zone de faux vide et tombe dans la gouttière, la symétrie du vide se brise et la densité de l’énergie descend très bas au niveau minimal, celui du vrai vide. Ce modèle a été modifié plusieurs fois. Toutes ces modifications paraissent des manipulations compliquées, des arrangements à posteriori pour justifier le scénario du départ. Cela ressemble plutôt à une œuvre surréaliste.

 

Dans notre monde, l’interaction forte s’applique aux noyaux constitués de baryons. Elle relie entre eux les quarks, particules composant les baryons.

 

Avant et après toute réaction nucléaire, le nombre de baryons et celui des leptons est conservé, mais lorsque les interactions étaient unifiées, selon la théorie du big-bang, les baryons pouvaient devenir des leptons et réciproquement. Ces échanges se produisaient par l’intermédiaire de particules très lourdes appelées bosons x et leurs antiparticules les x négatifs. Les bosons x et anti x matérialisaient la grande force d’unification GUT (Théorie de la Grande Unification) qui n’est pas démontrée pour l’instant.

 

Selon la théorie, tout au début de l’explosion, chaque photon se décompose en un x et un anti x, la symétrie est intacte.

 

Mais d’où vient la masse des bosons x, s’ils sont réellement issus des photons ? Quel est le phénomène capable de transformer l’énergie des particules sans masse en particules lourdes, dotées d’une énergie infinie ? D’où vient l’énergie supplémentaire ?

Ensuite les bosons x sont porteurs de la triple force unifiée et donnent naissance à la matière (quarks et électrons), et à l’antimatière (antiquarks et anti électrons) dans une proportion exacte. On croit que les bosons x et les anti x ont eu une prédilection pour la matière. Pour quelle raison ? Personne ne sait pourquoi les particules x cessent d’exister en équilibre dans ce milieu, et pourquoi elles l’étaient auparavant, d’autant plus qu’elles ne peuvent pas coexister comme toutes particules et antiparticules.

 

Au début, Einstein était persuadé que l’univers était statique. L’idée du big-bang était venue aux scientifiques après la découverte de l’astrophysicien Hubble, en 1929. Il montra, grâce à ses observations, que les corps célestes s’éloignent. Auparavant, l’expansion étant déjà envisagée par W. de Sitter dès 1917, les astrophysiciens ont alors conclu qu’il y a eu certainement un élan du départ qui a fait que les galaxies s’écartaient les unes des autres.

 

Aujourd’hui, la théorie du big-bang est fortement contestée par plusieurs physiciens. La théorie du cosmos et des particules subatomiques est contradictoire, elle n’est pas fondée sur une base solide. Le modèle du big-bang n’est pas une évidence, car il ne propose pas d’explication aux observations. Il s’est pourtant imposé, il a pris l’ampleur d’autorité depuis plus de cinquante ans.

 

La fin du monde

 

 

Si nous acceptons l’idée d’un début du monde, nous pouvons nous demander s’il aura une fin. Il existe trois suppositions, liées à la densité de la matière de l’univers, trois possibilités de mort probable de l’univers selon l’expansion.

 

Si la densité de matière de l’Univers est supérieure à la densité critique, il doit être fermé. Dans ce cas il y aura un big-crunch, sorte de big-bang à l’envers, une singularité, point unique où l’espace et le temps disparaîtront, comme si rien ne s’était passé. Après une expansion, il se contractera et s’effondrera sur lui-même.

 

Si sa densité est égale à la densité critique, l’Univers est plat, illimité et infini, son expansion se ralentira jusqu’à une quasi immobilité. La mort d’un monde plat est thermique. C’est l’idée préférée par la majorité d’astrophysiciens.

 

Si sa densité est inférieure à la densité critique, l’Univers est donc ouvert, infini et son expansion est éternelle.

 

Aussi en partant du principe de simplicité, sachant que l’univers adopte le plus simple, la cosmologie moderne envisage la possibilité de trois formes universelles.

 

Si l’univers a une courbure positive, alors il est une hyposphère de volume fini ; s’il a une courbure nulle, il est un hyper plan de volume infini ; enfin, s’il a une courbure négative, il ressemble à une selle de cheval en trois dimensions et de volume infini.

 

Le destin de l’univers est, par conséquent, fonction de sa masse initiale, de la vitesse d’expansion de l’espace, et de sa géométrie. A ce jour l’incertitude demeure ; l’univers est-il ouvert, fermé ou plat ?

 

Si l’Univers est courbe, la somme des angles d’un triangle n’est pas forcément égale à 180 degrés, et les droites parallèles peuvent dans certains cas se rencontrer.

 

L’Univers serait-il hyperbolique de volume infini ? En outre, toutes les directions sont équivalentes, il n’y a pas d’axe spécifique. L’espace ne peut pas être plus dilaté, ou plus contracté dans une direction, ou dans une autre : c’est l’isotropie.

 

Mais depuis peu, cette hypothèse est renversée : l’Univers serait plutôt plat. Deux expériences internationales : “Boomerang” et “Maxima” ont évoqué des suggestions en faveur d’un univers plat.

 

D’autre part, puisque les protons sont de charge positive en déséquilibre (sans équivalent de charge matérielle négative) et ne soupçonnant pas la présence éternelle de l’antimatière, les scientifiques prévoient leur mort, dans plusieurs milliards d’années (10 suivi de 32 zéros, puis de 33 plus tard, lorsqu’ils ont refait les calculs). Comment peut-on vérifier cette hypothèse ? Une des voies de vérification serait de constater qu’un proton se désintègre effectivement à cet âge. Mais il fallait pour cela pouvoir atteindre cet âge et être sûr qu’une telle désintégration ne serait pas accidentelle, due aux particules cosmiques créées en permanence dans l’univers. Des dispositifs ont été enterrés à 700 mètres de profondeur dans le tunnel de Fréjus. Ils sont constitués d’une succession de plaques de fer, séparées par des détecteurs, capables d’enregistrer la gerbe de particules qui se produit en cas de désintégration d’un proton. La masse totale du fer est telle que l’ensemble de ces atomes contient beaucoup de protons et les chercheurs croient avoir ainsi une chance d’en voir mourir au moins un parmi eux au cours des années.

 

Cela m’étonnerait, puisque la matière, les protons en question sont éternels et leur vie est assurée par l’équilibre unique de la symétrie universelle (matière – antimatière) que vous allez découvrir plus loin dans la nouvelle Théorie de relativité essentielle. 

 

 

 

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